7 choses à ne pas faire pendant votre divorce

huissier divorce

Comme n’importe qui qui a vécu un divorce peut vous le dire, le processus est rarement facile. Les tensions sont vives et les couples prennent souvent de mauvaises décisions dans le feu de l’action. Notre premier conseil dans ce contexte sera toujours d’aller voir un représentant local de la loi afin de demander conseil tel qu’un huissier dans votre département par exemple un huissier du 78 si vous habitez dans les Yvelines.Étant donner la montagne de détails financiers, pratiques et émotionnels qu’il faut régler, il n’est pas surprenant que tant de couples finissent par commettre des erreurs critiques sur le chemin du divorce. Cela dit, il y a un certain nombre de choses importantes que vous devriez faire, ou plus précisément ne pas faire, pour réduire le risque que vous regrettiez vos décisions plus tard. Voici les 7 meilleurs conseils sur ce qu’il faut éviter lors d’une demande de divorce.

1. Ne tombez pas enceinte

Avoir un bébé pendant votre divorce complique beaucoup de choses et pourrait même entraver votre droit au divorce. En novembre 2004, un juge du comté de Spokane, dans l’État de Washington, a refusé de permettre à Shawnna Hughes, une femme enceinte, de divorcer de son mari violent. Le mari de Hughes n’est pas le père de son enfant. Mais parce que Hughes est tombée enceinte pendant la procédure de divorce, la loi de l’État présume que le mari de Hughes est le père de son enfant né jusqu’à 300 jours après son divorce. Le juge a refusé d’accorder le divorce à Hughes parce qu’il craignait qu’il n’y ait pas de père pour assumer la responsabilité financière de l’enfant. Bien que de nombreux États accordent maintenant aux parents célibataires les mêmes droits qu’aux parents mariés, avoir un enfant dans les limbes du mariage peut être problématique.


2. N’oubliez pas de modifier votre testament

Le fait de divorcer ne révoque pas automatiquement un testament. Si vous voulez empêcher votre futur ex-conjoint de recevoir les sommes et les privilèges qui lui sont accordés dans votre testament, vous devez mettre à jour votre testament. Vous pouvez refaire un testament en tout temps. Mais si vous décédez avant d’avoir obtenu le divorce et que vous n’avez rien laissé à votre conjoint, il ou elle peut poursuivre et récupérer une partie de votre succession.

3. Ne niez pas la possibilité d’un divorce ou d’une médiation en collaboration

Dans un divorce collaboratif, vous pouvez obtenir l’aide de professionnels – avocats, coachs en divorce et thérapeutes, pour partager les biens et gérer le stress émotionnel. Certains détracteurs du divorce collaboratif croient que les avocats, les conseillers en divorce et les thérapeutes qui s’engagent dans un divorce collaboratif ne sont pas vraiment des experts et coûtent trop cher en temps et en argent. Toutefois, la majorité des ressorts où le divorce est pratiqué en collaboration ont déclaré que le divorce en collaboration est plus coopératif et moins conflictuel que le divorce traditionnel.

La médiation est différente. Un seul tiers professionnel – un médiateur de divorce – vous aide à conclure une entente avec votre conjoint. La médiation est plus un processus continu qu’une intervention ponctuelle. Bien que les avocats ne soient généralement pas autorisés à participer aux séances de médiation, vous pouvez consulter un avocat en tout temps au cours du processus pour vous assurer d’obtenir le bon résultat.

4. Ne couchez pas avec votre avocat

Il est facile de se rapprocher de la seule personne qui est de votre côté. Mais c’est aussi une grosse erreur. Certains États interdisent toute activité sexuelle entre un avocat et son client. D’autres États permettent à un avocat et à son client qui avaient des relations sexuelles avant l’affaire de poursuivre leur relation. Dans les deux cas, coucher avec votre avocat peut compromettre vos communications avocat-client parce que vous pourriez être accusé d’adultère pour l’infidélité.

5. Ne vous en prenez pas aux enfants

Les enfants ont besoin d’un environnement favorable pour faire face au divorce. Réduisez au minimum le montant dont vous parlez au sujet du processus. Cela vous donnera plus de temps pour être là pour eux. Recentrer votre énergie pour que vous puissiez assister à leurs activités scolaires et parascolaires, les aider à faire leurs devoirs et les emmener de temps à autre au cinéma ou au zoo. Quand vous êtes détendu, ils deviennent plus détendus. Bien que vous devriez être à l’aise de parler du divorce avec vos enfants, le but de ce divorce est de soulager votre stress et celui de votre famille.

6. Ne refusez pas de voir un thérapeute

Consulter un thérapeute peut vous aider à surmonter l’éventail d’émotions que vous éprouverez en cas de divorce. C’est une bonne idée d’obtenir de l’aide avant de devenir extrêmement déprimé ou en colère. Un thérapeute n’est pas seulement quelqu’un à qui parler. C’est aussi un professionnel qui peut vous montrer comment vous détendre, comment parler à vos enfants et comment rester calme au tribunal. Plus important encore, un thérapeute peut vous aider à devenir autonome.

7. N’attendez pas après les fêtes

Vous savez déjà que les vacances ne seront pas difficiles. Alors pourquoi attendre ? Les avocats en divorce constatent souvent une augmentation du nombre de clients avant, pendant et après Noël. Il est également plus facile de s’habituer à une maison vide avant les vacances. Si vous attendez (et vous battez) toute la saison, vous risquez de détruire toutes les chances d’une séparation à l’amiable et de finir par régler vos différends devant les tribunaux.